mardi 31 juillet 2012

Mes données ? Où sont mes données ?

A lire sur:  http://www.infodsi.com/articles/134473/donnees-sont-donnees.html?key=

lundi 30 juillet 2012
Selon une étude menée par Varonis Systems, 67% des cadres supérieurs ne sauraient pas exactement où sont stockées les données de leur entreprise (cloud ou support externe) et 74% des entreprises avouent ne pas avoir d'outil approprié leur permettant de savoir où leurs fichiers ont été stockés. Etonnant, non ?

Toujours d'après cette étude Varonis, l’utilisation grandissante des tablettes et smartphones personnels au sein des entreprises et l'engouement pour les services de synchronisation constitueraient une véritable menace pour les entreprises. D'autant que les fichiers stockés dans les cloud externes peuvent aussi être perdus, déplacés, voire ne pas être attribués aux bons utilisateurs ou encore être subtilisés par des employés qui quittent l’entreprise.

D'ailleurs, seules 9 % des entreprises qui utilisent un service de synchronisation via le Cloud disent avoir un système d’autorisation et de contrôle d’accès aux informations stockées sur le Cloud. 23 % en sont toujours au stade de la mise en place. Les 68 % restants n’ont aucun contrôle d'accès. Et sans contrôle d’accès, ni renseignement sur le lieu où se trouvent les données, ces dernières se retrouvent forcément disponibles pour n’importe quel utilisateur. "Le plus surprenant a été de découvrir le nombre d’entreprises n’ayant aucun moyen de savoir où leurs données sont stockées sur le Cloud sans même un contrôle d’accès" souligne Norman Girard, Vice Président Europe chez Varonis. "Les cadres supérieurs n’ont souvent aucune idée de l’endroit où les données de l’entreprise sont stockées. Cette révélation devrait constituer une prise de conscience pour les entreprises qui se doivent d’accroître la sécurité de leurs données le plus vite possible".

Pour Varonis, la mise en place d'une collaboration sécurisée au sein de l'entreprise passe par quelques règles simples :
. la création d'un inventaire des plateformes de collaboration les plus utilisées pour avoir une idée du lieu où les données sont stockées, de qui y a accès et qui les utilise.
. l'identification des propriétaires de données pour chaque type de données en leur demandant de faire les premières vérifications nécessaires afin de savoir si ces données sont stockées à l’endroit prévu et si les personnes habilitées y ont accès.
. la restruction de l'accessinilité à certaines données.
. l'établissement d'un suivi complet des accès aux données.
. la mise en place d'un système sécurisé pour les accès des employés à distance.

lundi 30 juillet 2012

La convergence des médias est un impératif pour les marques

A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/convergence-medias-un-imperatif-marques

Par L'Atelier - Paris 30 juillet 2012 Convergence vers une stratégie

Les consommateurs font face à de plus en plus de contenus, qu’ils soient sur des médias traditionnels, sociaux ou encore des supports publicitaires. Cela oblige les marques à s'adapter en adoptant une stratégie multicanale globale. Un challenge qui demande de repenser l'organisation en interne.
Si les marques sont conscientes de l'importance d'adopter une approche multicanale pour s'adapter à des consommateurs toujours plus mobiles, elles ne savent pas encore réaliser cette convergence en interne. En effet, les frontières deviennent de plus en plus floues et surtout hybrides entre médias traditionnels, réseaux sociaux et la publicité. La convergence entre ces médias serait pourtant un impératif pour les entreprises, selon une étude* menée par Altimeter. Actuellement, la plupart des entreprises ne seraient pas prêtes à combiner le "paid, owned et earned media". Et si des actions ne sont pas menées dans ce but, la performance pourrait en souffrir dans moins de 10 ans.

Une stratégie transversale

Cela implique de changer l'organisation du département marketing et de créer de nouveaux modèles collaboratifs à l'intérieur de l'entreprise afin d'optimiser les investissements. Aujourd'hui, la gestion de la publicité, de la communication corporate et des médias sociaux est organisée en silos et est une véritable concurrence territoriale et budgétaire. Traditionnellement, le "paid media" est l'apanage du département marketing, que ce soit en ligne ou non. Mais aujourd'hui, la publicité ne marche plus aussi efficacement que par le passé et nécessite de compléter le dispositif par d'autres canaux. Pour ce qui est du "owned media" et du "earned media", ils sont tout deux essentiels à une campagne, créant un phénomène d'amplification afin de diffuser les messages de la marque. Le owned media est généralement géré par le département communication externe et des relations presse et le earned media est plus transversal.

Oeuvrer en commun

Pour le consommateur, une marque représente une seule et même entité. Elle doit donc montrer une cohérence en inscrivant sa communication dans une stratégie globale. On observe depuis quelque temps une convergence entre médias dits traditionnels comme la télévision et les médias sociaux. En effet, toujours plus de programmes télévisés intègrent un fil twitter sur une partie de leur écran, affichant les réactions des téléspectateurs en direct. Rare sont les entreprises qui arrivent à intégrer les trois types de médias actuellement. Dans l'étude, Altimeter donne l'exemple d'une success story : Social chorus, une marque qui a réussi à les combiner en s'appuyant sur des influenceurs issus des médias sociaux. Mais faut bien reconnaître que la mise en oeuvre de ces projets par les entreprises est difficile, et que les études de cas sont encore bien trop rares.
*The Converged Media Imperative : How brands must combine paid, owned, and earned Media (2012)

10 highly valued soft skills for IT pros

http://www.techrepublic.com/blog/10things/10-highly-valued-soft-skills-for-it-pros/3353?tag=nl.e101
Takeaway: Today’s IT pro needs both technical expertise and soft skills — that’s nothing new. But the scope of those in-demand soft skills just keeps growing.
Depending on which company you talk to, there are varying demands for IT technical skills. But there is one common need that most IT organizations have: soft skills. This need is nothing new. As early as three decades ago corporate IT sought out liberal arts graduates to become business and systems analysts so they could “bridge the communications gap” between programmers and end users. And if you look at the ranks of CIOs, almost half have backgrounds in liberal arts.
So what are the soft skills areas that companies want to see in IT professionals today?

1: Deal making and meeting skills

IT is a matchup of technology and people to produce products that run the company’s business. When people get involved, there are bound to be disagreements and a need to arrive at group consensus. IT’ers who can work with people, find a common ground so projects and goals can be agreed to, and swallow their own egos in the process if need be are in high demand.

2: Great communication skills

The ability to read, write, and speak in clearly and effectively will never go out of style — especially in IT. IT project annals are filled with failed projects that were good ideas but poorly communicated.

3: A sixth sense about projects

There are formal project management programs that teach people PM methodology. But for most people, it takes several years of project management experience to develop an instinct for how a project is really going. Natural project managers have this sixth sense. In many cases, it is simply a talent that can’t be taught. But when an IT executive discovers a natural project manager who can “read” the project in the people and the tasks, this person is worth his/her weight in gold.

4: Ergonomic sensitivity

Because its expertise is technical, it is difficult for IT to understand the point of view of a nontechnical user or the conditions in the field that end users face. A business analyst who can empathize with end users, understand the business conditions they work in, and design graphical user interfaces that are easy to learn and use is an asset in application development.

5: Great team player

It’s easy for enclaves of IT professionals to remain isolated in their areas of expertise. Individuals who can transcend these technical silos and work for the good of the team or the project are valued for their ability to see the big picture. They are also viewed as candidates for promotions.

6: Political smarts

Not known as a particularly politically astute group, IT benefits when it hires individuals who can forge strong relationships with different constituencies throughout the company. This relationship building facilitates project cooperation and success.

7: Teaching, mentoring, and knowledge sharing

IT’ers able to teach new applications to users are invaluable in project rollouts. They are also an asset as teaching resources for internal IT. If they can work side by side with others and provide mentoring and support, they become even more valuable — because the “real” IT learning occurs on the job and in the trenches. Central to these processes is the willingness to share and the ability to listen and be patient with others as they learn.

8: Resolving “gray” issues

IT likes to work in binary (black and white). Unfortunately, many of the people issues that plague projects are “gray.” There is no right or wrong answer, but there is a need to find a place that everyone is comfortable with. Those who can identify and articulate the problem, bring it out in the open, and get it solved are instrumental in shortening project snags and timelines.

9: Vendor management

Few IT or MA programs teach vendor management — and even fewer IT’ers want to do this. But with outsourcing and vendor management on the rise, IT pros with administrative and management skills who can work with vendors and ensure that SLAs (service level agreements) and KPIs (key performance indicators) are met bring value to performance areas where IT is accountable. They also have great promotion potential.

10: Contract negotiation

The growth of cloud-based solutions has increased the need for contract negotiation skills and legal knowledge. Individuals who bring this skills package to IT are both recognized and rewarded, often with highly paid executive positions.

Why social media is endangering our future, and what we can do about it

A lire sur:  http://thenextweb.com/socialmedia/2012/07/29/why-social-media-endangers-our-future/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=daily

Everybody wants to be famous,
Nobody wants to be nameless, aimless
-Dizzee Rascal, You’ve Got The Dirtee Love
The Internet is a democratizing medium that gives ordinary people the power to be content creators and information disseminators. This point has been discussed to death on the vessels of that change – blogs and social media (journalists love nothing more than talking about journalism). On the flip-side of this, the Internet takes away power from people who do not create and do not create a virtual presence for themselves. If you can’t find someone or something on Google, it might as well not exist.  Therefore, entrepreneurs have found ways to give the power of content creation to as many people as possible, and have been rewarded handsomely.
It’s easy to see that this is true; content creation and publication has become progressively more accessible. Blogs were the first major source of user generated content – but in order to have one, you had to be able to actually write (if only that were still true). MySpace, Facebook, and Twitter made it even easier to be a content creator – you no longer needed to be able to write, you could instead type a few words in a status update or a wall post, or tweet about your morning breakfast and be heard by potentially millions. Now you can just take a photo of your morning breakfast and share it on Instagram, or simply click a like button and share your preference for eating your eggs with ketchup instantly.
However, the content creation renaissance is over and now getting you to share more is serious business worth billions of dollars per year. More sharing is more content to serve ads over. More content to serve ads over is more money. In the new world that Facebook and others are leading us into, to create content you need not do anything at all. Listen to a dubstep remix on Spotify, share a story; read a crummy article about hot summer styles on Yahoo, share a story; watch a YouTube video on Socialcam, share a story. We are rapidly losing the power to choose what we share and with whom.
What’s more is that because to be searchable and indexed on Google is to be, we are in need of exposing our lives more and more on public channels to permanently plant ourselves in the memory of the Internet. Nobody wants to be forgotten. We are losing control over our content as well as how we are represented online. That power is entirely in the hands of social media and search companies.
As a computer scientist, my biggest fear is that the gigantic brain of the Internet will be used to abuse people who have the least power – those who have had their lives shared in public and can’t get it back. I fear that companies and governments will make dangerous assumptions about you with your public data. I fear that health insurance companies will automatically raise my rates because I let my friends know I was traveling to a malarial area. I fear that auto insurance companies will raise the rates of people who say they are “doin’ 105 on 105” without realizing it’s a lyric from Kendrick Lamar. I fear that companies will reject people from jobs by algorithmically turning down candidates with lower perceived reading levels. And there are already plenty of known examples of governments data-mining to discover political dissidents.
I think we can fix our algorithmically determined future by doing a couple of things. The first is obvious – we need better privacy settings, and ethical default sharing options. Anyone that has built an app knows that users largely use whatever the default provided to them is. Private is an ethical default. Public is not. When new users sign up on Facebook right now (try it), their default sharing option is public, and that is wrong.
The second is that search engines, social networks, and other data stores need to provide ways for users to easily remove, hide, or at least curate their personal data that’s been cached or stored permanently. Some sites, such as deviantART, will not remove comments you have posted. That’s wrong.
The third is that companies that provide sharing options and have the brain power to do so should create algorithms similar to spam filters that can identify and assist users sharing content publicly that may hurt them. I say this because if they don’t, then all of the entities above will, like insurance companies, banks, law enforcement, and governments, and that will be bad for these companies in the long run. If users lose their trust with a service, they will go find a different one.
We can still fix this. It’s going to take education and some or all of the ideas I have mentioned. If you are reading this right now, you are somebody that can make a difference. Set your privacy settings on all of your apps and show your friends and family how to do the same. Demand better privacy policies from companies that store your data. Before sharing something, think twice about whether you want that information to be searchable 20 years from now. I am hopeful that as an industry, together we can take back control of our future.
Man pointing gun photo from Shutterstock.

samedi 28 juillet 2012

Associated Press met à jour sa charte des médias sociaux

A lire sur:  http://www.demainlaveille.fr/2012/07/27/associated-press-met-a-jour-sa-charte-des-medias-sociaux/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+DemainLaVeille+%28Demain+la+veille%29

L’agence AP a récemment mis à jour sa charte d’usage des médias sociaux, à destination de ses correspondants et journalistes. Les nouvelles pratiques intégrées dans cette dernière version visent à réguler plus finement l’usage des réseaux sociaux. En effet, les mises à jour portent sur le live-tweeting ainsi que le rapprochement des sources en s’abonnant à leurs flux ou en demandant de rejoindre leur réseau.

A titre d’exemple, la nouvelle charte précise que :
  • En cas de breaking news, le correspondant est obligé de fournir l’information à l’agence, avec de la livetweeter et la publier sur les réseaux sociaux.
  • Quand un correspondant dispose d’un contenu exclusif, notamment des photos, des vidéos, des textes, etc. il est invité à les diffuser auprès des desk correspondants, avant de les mettre en ligne. Une fois publié par l’agence, le journaliste peut renvoyer un lien vers ce contenu sur le site de AP.
  • Il est accepté de demander en ami, sur Facebook, les politiciens, sources et autres personnes si elles peuvent être utiles pour le reporting du journaliste. Idem pour les abonnements Twitter. Cependant, l’Associated Press précise qu’il est préconisé de limiter les interactions avec ces contacts à travers les Like par exemple, pour ne pas induire en erreur certaines perceptions et garantir une certaine neutralité, dans le traitement des infos.
Consulter la nouvelle mise à jour (PDF) : Social Media Guidelines for Associated Press Journalists

vendredi 27 juillet 2012

Etude : les dépenses high tech globales évaluées à 2100 milliards de dollars en 2012


depenses high tech
Les dépenses liées aux produits high tech ne cessent d'augmenter et les analystes de Gartner estiment que celles-ci atteindront au total 2100 milliards cette année.

En comptabilisant les ventes globales des smartphones, des ordinateurs, des tablettes, des marchés d'applications ou encore des médias, le cabinet d'analyse Gartner explique dans un communiqué que les consommateurs dépenseront cette année 130 milliards de dollars contre 114 milliards en 2011. Au total les experts affirment que les investissements cumulés s'élèveront à 2100 milliards fin 2012 et 2700 milliards fin 2016.

« Les trois segments principaux du marché des nouvelles technologies pour le consommateur sont, et continueront d'être, les services mobiles, les services de téléphonie et les divertissements (NDLR : câble, satellite, jeux en ligne, IPTV...) », explique l'analyste Amanda Sabia. Elle ajoute que les dépenses au sein des plateformes de téléchargements mobiles et des kiosques de contenus numériques (ebook, magazines payants...) devraient tripler d'ici 2016 en passant de 18 milliards à 61 milliards de dollars pour les premières et de 5 à 16 milliards de dollars pour les seconds.

Cette année, le chiffres d'affaires lié aux services mobiles devrait représenter 37% des dépenses globales, soit 800 milliards contre 1000 milliards dans quatre ans. Les téléphones et les divertissements représenteraient respectivement 222 milliards et 210 milliards de dollars en 2012 contre 300 milliards et 290 milliards de dollars en 2016. Ce phénomène serait principalement dû à la mise en place de forfaits spécialement pensés pour les smartphones et tablettes, lesquels contribueraient à multiplier les ventes de terminaux et donc des contenus associés par la suite.

jeudi 26 juillet 2012

Réseaux sociaux : aller au-delà du simple dialogue avec le client

A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/reseaux-sociaux-aller-dela-simple-dialogue-client

Par L'Atelier - Paris 26 juillet 2012 
social network map
Plus qu'une simple présence sur les réseaux sociaux, les entreprises cherchent à créer des communautés, mais pas uniquement de clients. L’impact des campagnes est toujours difficile à mesurer.
Il y a deux ans, le spécialiste de la logistique, FedEX avait publié conjointement avec Ketchum, une agence de conseil en relations médias et en stratégies d'influence, un rapport mettant en évidence un tournant dans l'utilisation des réseaux sociaux à des fins professionnelles. Ceux-ci rééditent le rapport pour montrer les changements perçus depuis. La tendance serait donc à une utilisation plus stratégique et à une intégration plus complète de ceux-ci. Mais alors que les objectifs principaux pour l'année 2010 tournaient autour de la question du bouche à oreille, ceux de cette année sont légèrement différents puisque la priorité est au dialogue entre les différentes parties prenantes et à la participation du client. A titre d'exemple, l'étude montre que 51% des entreprises interrogées estiment utiliser efficacement les réseaux sociaux pour renforcer leur relation client.

Fidélisation du client... et des salariés

Mais pas seulement. Ce serait également le cas avec les consommateurs dans leur ensemble, pour 52% des entreprises, et pour les partenaires et fournisseurs, à une hauteur de 40%. Mais le fait de développer l'image de la marque n'est pas non plus mis de côté : les entreprises sont ainsi 69% à penser que leur présence sur les médias sociaux contribue à faire connaître la marque auprès des clients et 68% auprès de la population en général. Et en ce qui concerne la fidélisation, elle ne s'arrête pas seulement aux clients. En effet, le rapport avance que les entreprises se servent également des réseaux sociaux pour fidéliser leur propres employés, en renforçant leur relation pour 46% d'entre elles et en facilitant le dialogue et les discussions avec ceux-ci, pour 44%. Elles sont d'ailleurs également 44% à souhaiter fidéliser leurs salariés en faisant appel à ou en leur proposant de partager leur expertise sur un sujet. On constate donc que de manière générale, les médias sociaux sont bien mieux intégrés au sein des entreprises actuellement qu'il y a deux ans.

Réflexion sur les moyens de mesure de l'impact

Une chose qui n'a par contre pas changé par rapport au même sondage pour l'année 2010 est la difficulté de mesurer l'impact de tels outils, bien que les entreprises soient actuellement 80% à déclarer mesurer l'impact des médias sociaux d'une manière ou d'une autre. Parmi celles-ci, et de manière plus précise, on trouve 88% d'entreprises contrôlant les retours et conversations sur leurs profils. Mais également, elles seraient 84% à s'appuyer sur l'engagement (nombre de fans, nombre de « like »...), 69% sur les « impressions » (combien de publicité, combien de clics, qui clic...), 53% sur l'influence (nombre de retweets, nombre de notifications partagées...) et 51% cherchent à analyser le ton employé par les internautes (commentaires négatifs et positifs). Bien qu'elles n'aient pas tous les outils pour mesurer cet impact, les entreprises restent néanmoins majoritairement positives puisqu'elles sont 84% à considérer qu'il existera toujours des aspects du marketing qui, bien que très importants, ne seront jamais quantifiables.

mercredi 25 juillet 2012

Gérer de manière proactive les petites demandes de modification de contenu au moyen de processus alternatifs

A lire sur:  TenStep


Il est facile de se rendre compte et de reconnaître qu'un processus de gestion des modifications du contenu doit être invoqué lorsque de grands changements doivent être apportés à un projet. Cependant, pour de petites demandes, vous pouvez rencontrer une certaine résistance à une gestion formelle des modifications du contenu. Le client ainsi que des membres de l’équipe du projet peuvent considérer que ce sont des frais inutiles pour de si petites décisions. Ils pourraient avoir raison.
Il y a trois techniques à utiliser qui peuvent vous aider à apporter des petites modifications. Notez qu'aucune de ces options n’implique que vous n'êtes pas en train de gérer le contenu et d'en assurer le suivi. Ce sont juste des techniques complémentaires. Elles peuvent se révéler particulièrement utiles pour la gestion de petites modifications du contenu. Si aucune de ces options n'est mise en œuvre, le chef de projet devra utiliser le processus normal de manque de gestion des modifications de contenu pour toutes les modifications.
·         Grouper les petites demandes
Il n'est pas toujours pratique de solliciter le commanditaire pour lui faire approuver une à une chaque petite demande de modification du contenu. D’habitude, l’équipe de projet n'a pas facilement accès, au jour le jour, au commanditaire, et il est difficile d’obtenir son attention pour de nombreuses petites demandes. Grouper les petits changements par paquets permet de mieux utiliser le temps disponible. Cela signifie que vous gardez une trace des petites demandes de modification du contenu, de leur valeur marchande et de leur impact sur le projet. Puis, quand elles atteignent un certain seuil, vous les communiquez toutes au commanditaire pour obtenir son approbation. Au lieu de rendre visite au commanditaire à plusieurs reprises pour des petites demandes de modification, vous les groupez toutes ensemble et ne rencontrez le commanditaire qu’une seule fois. Lors de la rencontre avec le client, vous discutez de tous les changements et modifications proposés (ou, peut- être, des plus importants du lot) et obtenez la réponse du commanditaire au sujet de leur éventuelle exécution. Même s’il s’agit de demandes pour des petites modifications, elles doivent tout de même passer par un processus de gestion des modifications du contenu. Autrement, vous êtes susceptible d’avoir à faire à des modifications incontrôlées. L'avantage d'obtenir l’approbation du commanditaire pour les petites modifications, c’est que celles-ci soient approuvées par lui ainsi que le budget et l’allongement de l’échéancier nécessaires pour effectuer le travail.
·         Discrétion
D'un point de vue pratique, on laisse habituellement l’approbation des modifications du contenu dont la valeur est en dessous d’un certain seuil de coût et d'effort de travail, à la discrétion du chef de projet et du manager du client. Cette autorité ne doit pas être autoproclamée. Elle doit faire l’objet d’une délégation de pouvoir explicite de la part du commanditaire. Cependant, cela suppose que le projet est dans les temps ou en avance par rapport à l’échéancier, et que les modifications n’occasionnent pas de dépassement en termes de coût, d’effort de travail ou de durée convenus. Si cela risque de se produire, ce pouvoir de décision ne devra pas être utilisé, même pour une demande de modification d'une heure. Si le projet risque de dépasser sa date limite ou ses engagements au sujet du budget, toutes les demandes de modification de contenu devront être communiquées au commanditaire pour approbation, que ce soit séparément ou par paquets. Si le commanditaire approuve les changements, le projet doit recevoir le supplément de budget correspondant et l’échéancier doit être allongé.
·         Réserve pour aléas destinée aux modifications du contenu
Dans certaines entreprises, il est courant d’instituer une réserve pour aléas, pour prendre en compte les petites modifications de contenu. Habituellement, aucune justification n’est exigée. Votre entreprise peut constater que quelques modifications de contenu sont inévitables et elle peut assigner un pourcentage du budget du projet pour les prendre en compte. Par exemple, vous pouvez avoir une réserve supplémentaire de 5% de votre budget, destinée aux modifications du contenu. Si le budget total de votre projet est de 500.000 €, votre budget de contingence pour les modifications du contenu sera de 25.000 €. Cependant, cela implique que ce budget de contingence sera assigné entièrement aux petites demandes de modification de contenu. Le client doit gérer le budget afin de s'assurer que toutes les petites demandes de modification puissent être effectuées. Si le client épuise le budget dès la première petite modification de contenu, rien ne sera prévu pour les demandes ultérieures de modification, ce qui oblige le client à rationner ses demandes de modification pour s’assurer qu’il pourra introduire quelques modifications importantes durant tout le cycle de vie du projet et pas seulement au début. Ce budget est employé pour des demandes de modification inférieures à un certain seuil de coût ou d’heures de travail. De plus grandes demandes peuvent encore être faites, mais elles passeront par la gestion normale des modifications du contenu et seront évaluées par le commanditaire.
Terminologie de management de projet
Facteurs environnementaux de l'entreprise. Facteurs environnementaux internes ou externes à l'organisation, pris individuellement ou dans leur ensemble, qui avoisinent ou influencent la réussite du projet. Ces facteurs peuvent provenir de toute entreprise participant au projet ; ils comprennent la culture, la structure et l'infrastructure de l'organisation, les ressources existantes, les bases de données commerciales, les conditions du marché et les logiciels de gestion de projet utilisés.
Indice de performance des coûts (IPC). Mesure de rendement du coût dans un projet. Cet indice est égal au quotient Valeur acquise (VA) / Coût réel (CR). IPC = VA divisée par CR.
Abréviations courantes
TQM (anglais) : Total Quality Management
RACI (français) : Management de la qualité totale
Liens intéressants
Logiciel: BrightWork
·   Société: BrightWork, Boston, Massachusetts, États-Unis d'Amérique
·   URL: www.brightwork.com
·   Catégorie: Gestion de Portefeuille de projet
·   Fonctionnalités:
o    Offres des tableaux de bord, des outils et des listes de suivi des projets.
o    Les rapports que les membres de l'équipe ont affectés à certaines tâches et indiquent qui est en dessous ou au dessus de la capacité.
o    Caractérise les modèles personnalisables qui permettent aux utilisateurs de gérer un portefeuille de projets et de suivre les nouvelles demandes de projets.

Users, developers and companies can find a common ground for sharing personal data


A lire sur:  http://www.atelier.net/node/408734

Par Ivory king 24 juillet 2012 personal data online
Singly let developpers access personal data from users, who have control over what they share. It helps developers innovate and empower users. Could this be the common ground for sharing personal data between users, developers and companies ?
Internet users have become accustomed to sharing personal data with apps in return for rich and relevant experiences. But enterprises have been more cautious about such sharing due to proprietary concerns. One company, however, is showing that sharing personal data can be beneficial for both individuals and businesses. Singly will launch as an open source personal data platform that makes it easier for developers to innovate: users grant permissions for apps to access their data from many social web sources - Facebook, Twitter, etc. That data helps to make common web processes like searching for a restaurant on Yelp, going through email, or catching up on a Twitter stream, more relevant to each user.
User data from multiple social networks via Singly’s platform
This startup concentrates on simplicity - Singly’s approach allows developers to quickly build apps and plug in their data to get it running. While each social network has its own authorization process for developers to access user data, Singly has standardized authorization for its supported services, so developers only have to worry about one process. While other platforms, services and applications usually use social sign in or even import some data from social networks, the integration that Singly brings is more streamlined - for example, when a user uploads an image to one network, and a status update to another network, the developer only needs to use the Singly API, not both of the social APIs.
Apps have already been released that have influential effects
The type of data power that can come from social networks becomes clear with the results from Hack Day that Singly held last month. During a single afternoon, one developer built an inbox app that can now be found in the Chrome Store. In Do I know thee?, emails that do not come from Facebook, Twitter, LinkedIn and Instagram contacts appear grayed out, providing an easy way for users to see email from likely known sources. Another app, Foodie Finder, connects via mobile to a restaurant stream populated by locations that friends have checked into or taken pictures at.

Data Deluge Gap : des datacenters submergés par la croissance des données

A lire sur:  http://www.infodsi.com/articles/134332/data-deluge-gap-datacenters-submerges-croissance-donnees.html?key=

lundi 23 juillet 2012
LSI a voulu savoir comment se portaient les datacenters européens et connaître les problèmes auxquels leurs responsables faisaient face. Beaucoup se plaignent, en effet, d'un manque de performances due à l'augmentation exponentielle du volume de données. 

93 % des personnes interrogées dans le cadre de cette étude LSI reconnaissent l'importance d'optimiser les performances des applications pour leurs datacenters et leurs réseaux, mais 75 % d'entre eux pensent ne pas atteindre les performances requises.

En cause : les ralentissements rencontrés au niveau du réseau et de l'accès au stockage. "Dans bien des cas, ils résultent d'une augmentation très importante du trafic de données qui dépasse la capacité de l’infrastructure, limitée par une croissance plus lente du budget" souligne LSI. Ce phénomène, LSI lui a d'ailleurs donné un nom : le "Data Deluge Gap". Il s'agit en gros du décalage entre le rythme de croissance annuelle des besoins en capacité du réseau et du stockage (+30%) et celui des budgets informatiques (+7% maximum). Et comme l'augmentation des données dépasse largement l’évolution de l’infrastructure, cela finit par poser des problèmes.

"Les résultats de l’enquête démontrent à nouveau qu’il faut améliorer de façon significative les performances des centres de données, notamment en matière d’intelligence système et d’accélération des applications, vu l’impact croissant de ce que nous appelons le ‘‘déluge de données’’" souligne Tony Afshary, directeur marketing au sein de la division Accelerated Solutions chez LSI, persuadé que l’utilisation du stockage Flash et de circuits intelligents peuvent permettre un meilleur retour sur investissement. Les responsables de datacenters sont apparemment très intéressés par le stockage Flash et admettent que les disques SSD peuvent accélérer les applications, mais près de la moitié n’ont pas de budget nécessaire pour acheter ce type de disques. Pour 92 % d’entre eux, le coût demeure le principal obstacle à leur adoption.

L'étude révèle enfin que 25 % des responsables consultés constatent qu’un manque de performance des applications se traduit par une perte de revenus. 40 % s’inquiètent également de l’impact des performances des applications sur la compétitivité de leur entreprise et 70 % disent que les principales causes des problèmes de performance sont l’accès au réseau et au stockage, et que les problèmes de performance au niveau des transactions entraînent des pertes de revenus.

"Cette enquête souligne l’intérêt d’une collaboration plus étroite entre les responsables de centres de données et des constructeurs tels que LSI, afin de comprendre ces avantages et d’en tirer pleinement parti" conclut Tony Afshary.

L'intégration du BYOD au sein de l'entreprise se fait par étapes

A lire sur:  http://www.atelier.net/trends/articles/integration-byod-sein-de-entreprise-se-etapes

Par Aurore Geraud 24 juillet 2012 hands on computer
Toujours source d'inquiétude mais néanmoins inévitable, l'intégration du BYOD (« Bring Your Own Device ») poursuit sa lente intégration en entreprise. Quelques étapes clefs doivent toutefois être respectées.
Il y a près de trois mois, Kaseya, fournisseur de logiciel de management informatique, dévoilait que plus d'un quart des organisations informatiques considéraient que l’usage par les employés de leur propre appareils mobiles dans le cadre du travail représentait l'une des plus grandes menaces pour l'entreprise. Et pourtant, un autre rapport récent, cette fois à l'initiative de Forrester Research, mettait en lumière que 60% des entreprises encourageaient cette pratique. C'est donc à partir de ces deux constatations contradictoires que l'institut de recherche à eu l'idée d'éditer un manuel à l'intention des entreprises dont le but est de leur offrir les lignes directrices d'un passage en douceur au BYOD. Et pour cela, le mot d'ordre est la création d'une infrastructure informatique « sans état ». Première étape donc selon Forrester : modeler une stratégie mobile cohérente et à l'épreuve du futur.

S'adapter au BYOD en 4 étapes

L'étude encourage ainsi les entreprises à placer la mobilité au centre de leur stratégie de développement informatique pour les cinq ans à venir. Pour cela, il ne faudrait plus adapter le BYOD au cas par cas mais au contraire le normaliser à la totalité de l'entreprise. Le mieux serait donc de créer des applications-tests pour les salariés afin qu’ils puissent mieux apprendre les usages grâce à celles-ci, (par exemple sur l'utilisation de la bande passante ou encore sur la protection des données). Seconde étape : externaliser les applications par une approche progressive. Forrester encourage donc les entreprises à proposer aux salariés un canal de diffusion et de gestion d'applications sous la forme d'un « app store » d'entreprise, comme Apperian ou AppCentral. La troisième étape consiste à transformer sa stratégie de gestion des appareils mobiles en inspection de ceux à risque. L'aide d'une tierce partie, comme Iovation ou Silver Tail Systems peut être un atout. Enfin, l'étude recommande aux entreprises d'étendre leur stratégie mobile aux autres initiatives de transformation informatique, cela, dans un but d'économie évident.

Car l'usage n'est pas prêt de ralentir

Ces conseils ne sont pas superflus au vu des résultats des précédentes études de l'institut de recherche. Ainsi, 91% des consommateurs américains et 86% des consommateurs européens possèdent au moins un appareil connecté. Des chiffres qui ne devraient pas cesser de progresser puisqu'on attends d'ici à 2015 pas moins d'un adulte américain sur trois en possession d'une tablette. D'ailleurs, le rapport de Forrester rappelle que rien que sur la période de 2007 à 2010 les opérateurs mobiles ont vu le trafic de données sans fil augmenter de plus de 5000%. Preuve donc que plus qu'un simple objet de confort voire de productivité, le BYOD est en passe de devenir un « must-have » pour les utilisateurs mobiles et un « must-integrate » pour les entreprises.

The Top 5 Project Documents

A lire sur:  Method 123

Part of every project manager's job is to keep good documentation. In doing so, a project manager becomes the repository and historian of project knowledge as people's memories begin to fade. But, there are so many project documents to maintain. Which ones are the most important to keep a project moving forward? Learn here the...
The Top 5 Project Documents
If you use the documents as a starting point for keeping up with your projects, then you will be well on the way to being highly valued and appreciated within your company.
The Project Charter
The project charter can be considered the green light for the project to move forward. Project activity can begin once the project charter has been assembled and approved. The purpose of this document is to outline the reasons and objectives for undertaking the project, items that would be considered in-scope or out-of scope, target project benefits, and most importantly a high-level budget and who has the authority to expend these resources.
The project charter also serves as a stabilizing force once the project is underway. There are going to be opinions and ideas of what aspects of a project should be left in and which should be removed. These opinions and ideas creep in based upon managers and resources personal preferences. The project charter can serve as a reference point for the original intent of the project and to ensure the project does not succumb to scope creep.
The Project Schedule
The project schedule is the next must-have document to effectively run a project. The very definition of a project (a temporary endeavor with a defined beginning and end undertaken to meet unique goals and objectives) speaks to the importance of the project schedule. The project schedule takes the beginning and end of the project and breaks it down into project phases and then ultimately project tasks. Each task is assigned a duration, resource, and whether it is dependent upon a previous task or activity prior to its start. This document then serves as the baseline for whether the project is on track and meeting its target dates or if there needs to be some adjustments made to the schedule.
The Status Report
It's important to keep everyone informed as to how things are progressing on the project once everything gets underway. There's no better way to do this than putting together a status report. A status report should contain the answers to these four questions:
  • What has been accomplished on this project since the last status report?
  • What is next to be done on this project?
  • What stands in the way of this project being complete?
  • Are there any special needs this project has that must be discussed?
A status report does not need to be overwhelming to put together and it should always be easy to read. It's good to come up with some type of status code (for example...Green, Yellow, Red always works well) that can quickly provide an overall status of the project at one quick glance. If an executive sees everything is Green he won't give the project a second thought. If the status is slipping into Yellow or Red, then the executive knows they must get involved at this point.
The Risk Register
Your job as a project manager is to get the project done. However, there are powerful forces at work whose sole purpose is to prevent you from getting your project done. These forces are known as Risks. These risks could range from a critical resource getting sick on your project to a key vendor going out of business.
You need to call these risks out on a regular basis and prevent them from turning into full-blown issues that can wreak havoc on your project. There's no better place to do this than the Risk Register. This document identifies potential risks and categorizes them by probability of occurring and the severity of their impact to the project if they do occur. Plus, there needs to be a mitigation strategy coupled with each risk as to what is being done to prevent this risk from occurring.
The Communications Plan
The final document every project must have is a communication plan. There are so many things going on with a project that is going full-steam ahead it's hard to remember who needs to know what and when they need to know it. A well-thought out communication plan will minimize any miscommunication that could occur and keep everyone on the same page.
If you want a toolset that comes with these top 5 Project Documents as well as hundreds of steps, tables, charts and other templates to help you deliver projects, then Buy MPMM today.

Dell announces big storage for Big Data

A lire sur:  http://www.itworld.com/hardware/287015/dell-announces-big-storage-big-data?source=ITWNLE_ITWNLE_nlt_bi_2012-07-25

By Jon Gold, Network World
Dell's announcement of a new Big Data Storage Data Retention product today highlights anew the company's ongoing transition from consumer hardware manufacturer to business service provider.
MORE DELL: Dell's cloud plans slip behind schedule
The company says that the solution runs best on its DX Object Storage Platform, combining the ability to sharply reduce the amount of data that needs to be stored via compression and deduplication with advanced management options.
"Being able to cost-effectively capture and store all of the relevant data makes it possible to gain insights that support innovation and business value. The key is having the right data management solution to fluidly move data, tier it, dedupe it, protect it and archive it. To us, that means your data is fluid," said Dell Enterprise Storage Vice President and General Manager Darren Thomas.
According to Dell, the ability to compress data by a ratio of 40:1 while still maintaining responsive connectivity with big data analytics will help businesses save on their storage and reduce its data center footprint. The company also touts extreme scalability as an advantage -- when used with the DX Object Storage Platform, Dell says that the system can scale from as little as 2TB up to petabytes of data without the need for capital expenditure on standard file and block storage products.
The Texas-based company has been trying to focus on business-to-business activities of late, making a number of acquisitions designed to improve its technological expertise in areas like virtualization, cloud computing and big data. The most recent purchase was Quest Software, an IT management software firm that, it was announced early this month, would be acquired by Dell for $2.4 billion. That deal is expected to close in the third quarter of 2012.

mardi 24 juillet 2012

Is Big Data big hype?

A lire sur:  http://www.techrepublic.com/blog/tech-manager/is-big-data-big-hype/7892?tag=nl.e106

Takeaway: Patrick Gray talks about what to keep in mind when you’re talking about Big Data.
Unless you’ve managed to completely tune out the IT press, you’ve likely been deluged with gushing articles about “Big Data” and its impact on IT. Traditionally, Big Data was little more than large data sets that might require some specialized tools and techniques for storage, manipulation, and analysis. Like Web 2.0, Cloud Computing, and other overwrought jargon, depending on whom you talk to Big Data will now revolutionize IT, make the CIO into a C-Suite hero, and completely obviate the need for conventional reporting and data analysis. If you’re feeling a strange tingling sensation in the “what’s old is new” corner of your brain, you might recall the days of Data Warehouses (later Business Warehouses) and Business Intelligence, where large data sets would bring similar promised benefits to IT.
The kernel of truth
With most hype-worthy technologies, there’s usually something valid beneath the smoke and mirrors, and Big Data is no exception. New technologies have provided the technical tools to perform more rapid analyses on large data sets, and everything from storage to networks have evolved to the point where we can more rapidly move, process, and manipulate these data. While that’s exciting and there are certainly some interesting innovations in this area, it’s certainly not news to anyone who’s spent time in IT that a new year brings bigger, better, and faster technologies. Arguably, the technology is one small portion of the promise of Big Data.
A key promise of IT has always been leveraging information to produce better decisions. From the first spreadsheet to multi-dimensional databases, executives saw computing as a way to make better or more rapid decisions. Like Data Warehouses and similar technologies, Big Data has shifted IT’s focus to how it provides timely and accurate reporting. For years most IT organizations have been hoarding information in ever-expanding Data Warehouses, and shifting the spotlight onto actually analyzing these data is a refreshing change.
Who’s afraid of Big Data?
Where the hype surrounding Big Data has done IT a disservice is the usual symptom of a breakthrough technology: hiding a valid business problem beneath a veneer of shiny new technology. Historically, many IT organizations have been flagged as doing a poor job of leveraging information. We’re great at acquiring and storing the information and cranking out report after report, but we can’t leverage information into actionable decision making. With Big Data being presented largely as an IT challenge, we risk putting the analysis and decision support efforts in the wrong hands. While IT can certainly build an infrastructure around data and equip our counterparts with tools to manipulate it, I see Big Data as predominately a business problem rather than an IT challenge.
From a larger philosophical perspective, one must wonder if overreliance on historical data is even as relevant as Big Data proponents would imply. Management guru Peter Drucker saw increasingly available IT as a threat to corporate decision making, not due to cost or some perceived evil, but because IT made it so easy for management to focus on the past rather than attempting to determine and react to future trends.
Leveraging Big Data
The best aspect of most hype-generating technologies is that they pierce the “knowledge bubble” that surrounds IT and end up being considered by your C-suite peers. Conversations around Big Data are a great time to discuss the information that IT is diligently gathering and storing, and how to design better ways to allow relevant parties outside IT to access, manage, and report on those data. Like all things data, just because you can store it and report on it doesn’t mean you should, and conversations around this are one of the best potential outcomes of the big hype surrounding Big Data.

dimanche 22 juillet 2012

Who's embracing BYOD? Probably not who you think

A lire sur:  http://www.infoworld.com/d/consumerization-of-it/guess-whos-embracing-consumerization-probably-not-who-you-think-197872?source=IFWNLE_ifw_coit_2012-07-20

July 20, 2012

A Dell-Intel survey reveals surprising attitudes among workers about consumerization, mobile technology, and today's changing tech

We all know that our work lives have changed dramatically in recent years, as technology has both let us do more and shackled us to our work at all hours and in practically all locations. Businesses worry about securing corporate information that is no longer confined to corporate PCs, software, and networks; employees worry about getting work done whenever and wherever, and they demand that as work intrudes into personal time that personal "work" should be allowed to intrude work time.
Often, discussion around trends such as BYOD, work at home, mobile technology, and cloud computing center on narrow issues such as security. But what's really going on in businesses and homes? What is the reality on the ground that must be understood to make the right decision, whether you are an employee, manager, or IT pro? Dell and Intel surveyed more than 8,000 people throughout the world to find out. The results are fascinating and should set the context for those decisions in today's changing technology and workplace contexts.
[ Go deep into what drives the consumerization phenomenon. | Understand how to both manage and benefit from the consumerization of IT with InfoWorld's "Consumerization Digital Spotlight" PDF special report. | Subscribe to InfoWorld's Consumerization of IT newsletter today. ]
InfoWorld Consumerization Digital Spotlight
You can download the full PDF report at no charge or signup. What follow are the facts I found most interesting.
Sixty percent of employees globally -- and 76 percent in the United States -- want to be evaluated on the quality of what they produce, not the hours they work in the office. In private enterprise, that percentage is 63 percent, and in the public sector it's almost as high: 59 percent.
Forty-three percent of employees feel pressure to work longer hours, though just 32 percent of Americans feel the same; Americans also report the greatest ability to shift their schedules, which may explain how they reduce the overtime pressure. Perhaps then it's not surprising that 61 percent of workers globally want more flexible hours than the traditional 9-to-5 schedule. Given their ability to shift their hours, it may be understandable that Americans are among the most optimistic that they can do their jobs in a 9-to-5 schedule (58 percent), including 72 percent of government employees and 68 percent of financial-sector employees.The survey strongly suggests that Americans either have a good work-life balance or have become comfortable with any imbalance that may exist.
Forty-five percent of workers globally want the ability to work remotely, and 55 percent believe they'll need to in the future.
Confirming what I think we all know intuitively, 45 percent of private sector workers have some say in the technology they use at work, versus 32 percent in the public sector. Likewise, 49 percent of small-business employees have some choice, versus 36 percent of enterprise employees. But less intuitively, when it comes to device choice, China, Mexico, and Brazil lead (at 59 percent, 57 percent, and 50 percent, respectively), whereas the United States, France, and the United Kingdom lag (at 29 percent, 28 percent, and 27 percent, respectively).
Nearly half (46 percent) the workforce globally expects to use devices for both personal and business purposes. Again, China, Mexico, and Brazil lead in terms of these expectations (in the high 60s), with double the acceptance of France and the United Kingdom (in the low 30s). Americans report similarly low desire (37 percent) to use devices for both work and personal purposes, though 55 percent say they already have the ability.
Interoperability -- meaning data exchange -- is the norm globally, with 59 percent of workers saying they have no restrictions on such sharing, though it's lower in the United States (48 percent). Media and engineering workers have the most freedom, surpassing 70 percent of respondents. Seventy-four percent of all workers globally said they believed they would have that freedom in the future.
The vast majority of workers globally -- more than 80 percent -- believe the Internet can help them collaborate more and gain more access to more resources. But some industries are much more accepting of this notion than others: 87 percent of engineers, 87 percent of media pros, and 84 percent of educators. Those less accepting are the armed forces and emergency responders, both at 67 percent. Canadians and Germans are more accepting of this notion than the British or Japanese.
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CFOs Role in IT Investment

A lire sur:  http://www.finyear.com/CFOs-Role-in-IT-Investment_a23912.html

Gartner and Financial Executives Research Foundation Survey Shows CFOs Role in IT Investment Has Increased from 2011.


CFOs Role in IT Investment
The CFO is increasingly becoming a top technology investment decision maker — if not the leading decision maker — in many organisations, according to a joint study by Gartner, Inc., and Financial Executives Research Foundation (FERF), the research affiliate of Financial Executives International (FEI). The study shows that the CFO's role in technology decision making has increased in the last year with 44 per cent of CFOs stating that their influence over IT investment has increased since 2010, while 47 per cent say that it has remained the same and just 9 per cent of those surveyed believe that their influence has decreased.

The survey of CFOs, which is in its fourth year, is designed to gather perceptions from financial executives about the economic environment, the CFO's role in technology and their IT investment priorities. The survey was conducted between October 2011 and February 2012, and it included 255 CFO respondents.

"The CFO and CIO are well-positioned to work together at generating business value from enterprise IT investments. However, this performance is often not achieved because of poor perceptions of IT, a parochial CFO or CIO perspective, or simply a failure to invest in the CFO-CIO relationship," said John Van Decker, research vice president at Gartner. "This year’s results show that, in most organisations, the CFO and CIO work together to finance IT and provide information that supports enterprise processes. But there is also an opportunity for them to form a powerful alliance that generates more value for the organisation."

The survey results showed that there are many ways that CFOs are involved in making IT investment decisions. Forty one per cent said that they were the actual leader of a group responsible for IT investment, whereas another 41 per cent were part of a group responsible for IT decision making, 16 per cent provide advice and one percent said they were the sole decision maker. Since the large majority was involved in group decision making about IT, engaging the CFO is clearly a critical issue.

"CFOs need to explain to CIOs the IT capabilities needed by the finance function," said Bill Sinnett, director of research at FERF. "There is an opportunity for them to form a powerful alliance that generates more value for the organisation. The CFO and CIO are well-positioned to work together at generating superior performance from enterprise IT investments. However, this performance is often not achieved because of poor perceptions of IT, a parochial CFO or CIO perspective, or simply a failure to invest in the CFO-CIO relationship."

One reason CFOs are important stakeholders is that they control IT funding. Although CFOs don't strictly decide who receives the money, they are powerful influencers and strict enforcers of policies and decisions. CFOs often have greater access to, and involvement with, senior business governance groups, and usually have strong influence and credibility with the CEO and board.

IT spending is currently very healthy from the responses in the study, and if there is a business improvement that can be made from increasing investments in IT spending, many CFOs will consider approval. From an IT operating expense perspective, 39 per cent of CFOs see a similar expense budget for IT in 2012 from 2010, while 44 per cent forecast an increase. For IT capital appropriations, 32 per cent foresee status quo on spending, while 48 per cent are expecting an increase. When asked how companies view spending in 2013 versus 2012, 51 per cent see the same IT operating expense levels, and 41 per cent forecast similar IT capital spending while 44 per cent see an increase in capital spending in 2013 over 2012.

When it comes to areas that CFOs would like to invest in, the study showed that business intelligence, analytics and performance management are at the top of the list. CFOs clearly recognise the need for improved technology support for these key business processes and identified the top business process area that needs technology investment as the ability to facilitate analysis and decision making (57 per cent) closely followed by collaboration and knowledge management (52 per cent).

In addition, the analysts identified four major technology trends that are on the CFO's radar and will drive technology planning, investment and usage in 2012 and beyond. These are the nexus of social, mobile, cloud and information. Enterprise organisations are being challenged to adapt as these technologies, and the data that result from their adoption and deployment internally to the enterprise and externally with customers, expands exponentially. With the exception of social media, which scored low in terms of technology initiatives, mobile, cloud (including software as a service [SaaS]) and information are priorities with CFOs.

"While CFOs certainly appreciate reduced cost through the more efficient delivery of IT, organisations need to understand that CFOs want technology investment that they can see business value from in the form of improved business processes. Therefore, their priorities are largely focused on analytics and business applications," said Mr Sinnett.

"CFOs are beginning to look at technologies that can span BI and applications and deliver applications through mobile access and via SaaS," said Mr Van Decker. "While these nexus capabilities are a concern more in 2013, IT organisations must communicate how more effective business platforms can be leveraged to deliver better architectures for business applications that are top of mind to the CFO."

Additional information is in the Gartner report "Top 10 Findings from 2012 Gartner FEI CFO Technology Study." The report is available on the Gartner web site at http://www.gartner.com/resId=2018115

Mr Van Decker and Mr Sinnett discuss the top findings from the 2012 Gartner FEI Study on Finance and IT in the Gartner On-Demand Webinar "Exploring CFO Priorities for 2012." To view this complimentary webinar, please visit http://my.gartner.com/portal/server.pt?open=512&objID=202&mode=2&PageID=5553&resId=1903415&ref=Webinar-Calendar.

About FERF
Financial Executives Research Foundation (FERF) is the non-profit 501(c)(3) research affiliate of Financial Executives International (FEI). Since 1944, FERF has been dedicated to identifying, developing and providing practical content through objective research to FEI members. FERF focuses on member-driven initiatives, making decisions on research topic areas based upon members' interests and needs. Examples of the topics covered in FERF publications and articles include IFRS, financial reporting and compliance, technology advances, benchmarking, audit fees, finance function structure and costs, sourcing, compensation, risk management and internal control.

About Gartner
Gartner, Inc. (NYSE: IT) is the world's leading information technology research and advisory company. Gartner delivers the technology-related insight necessary for its clients to make the right decisions, every day. From CIOs and senior IT leaders in corporations and government agencies, to business leaders in high-tech and telecom enterprises and professional services firms, to technology investors, Gartner is the valuable partner to clients in 12,000 distinct organizations. Through the resources of Gartner Research, Gartner Executive Programs, Gartner Consulting and Gartner Events, Gartner works with every client to research, analyze and interpret the business of IT within the context of their individual role. Founded in 1979, Gartner is headquartered in Stamford, Connecticut, U.S.A., and has 5,000 associates, including 1,280 research analysts and consultants, and clients in 85 countries. For more information, visit www.gartner.com

Friday, July 20th 2012

samedi 21 juillet 2012

Big Data, gros enjeux

A lire sur: http://www.lesechos.fr/opinions/points_vue/0202167232494-big-data-gros-enjeux-345800.php?xtor=EPR-1500-[idees_debats]-20120720-[s=461370_n=9_c=907_]-409905656@1

DE GILLES BABINET

Par Gilles Babinet | 20/07 | 07:00
Big Data : ce mot sonne comme un mantra aux vertus magiques auprès de tous ceux qui travaillent dans le monde de l'informatique. En soit, la Big Data n'a pourtant rien de sorcier : elle a été inventée par Yahoo! puis Google pour permettre de manipuler des quantités de données en croissance exponentielle.
Songeons-y : il était généralement admis qu'au tournant du millénaire, chaque individu représentait une quantité de données de l'ordre de 800 Go, soit la totalité des informations stockées par les administrations, les entreprises, les organismes de santé, etc., pour chaque individu. Dix ans plus tard, on estime que cette quantité s'est accrue d'un facteur 3.000. Innombrables sont les sources de ces données : les réseaux sociaux, les téléphones mobiles, mais également les transports en commun, les magasins, les entreprises, les voitures...
Or, les procédés traditionnels de gestion de données ont rapidement été débordés par cet accroissement de volume. Pour certaines sociétés, comme Amazon, il s'agissait même d'une question de survie : sans capacité de traitement rapide de ces données, la sécurité des transactions ou la qualité du fonctionnement de leurs plates-formes aurait été tôt ou tard remise en cause.
Ces techniques auraient très bien pu rester la propriété de ceux qui les avaient inventées si, en 2002, une publication scientifique n'avait décrit une partie des procédés technologiques employés par Google. En deux pages, on pouvait comprendre la magie par laquelle Google parvient à traiter d'immenses quantités de données pour faire fonctionner son moteur de recherche. Rapidement, une myriade de petites start-up se sont lancées sur ce créneau. Aujourd'hui, les champs d'applications de la Big Data sont sans limites : politique, économie, marketing, défense, médecine, environnement, etc.
Dans certains domaines, comme le renseignement, l'efficacité de la Big Data est proprement effrayante, tant il est devenu difficile de ne pas avoir de signature numérique. Même en renonçant à un ordinateur, un téléphone ou une carte de crédit (ce qui n'a rien d'évident), on ne passe pas moins chaque jour devant des dizaines de caméras vidéo par exemple. Et même si l'on s'en tient à l'écart, de la data vous concernant se crée.
La Big Data permet d'anticiper les flux de circulation, d'accélérer sensiblement la recherche sur le cancer, d'identifier les fuites sur les réseaux d'alimentation en eau, etc. Dans de très nombreux métiers, sa puissance analytique va bouleverser les méthodes de travail. C'est pourquoi, il serait opportun que notre pays réfléchisse aux enjeux de cette discipline naissante. La France dispose d'atouts forts, avec l'excellence de son école mathématique, en particulier dans le domaine statistique, et elle pourrait profiter de cette caractéristique pour développer une filière numérique de premier plan dans le champ de la data.
Gilles Babinet est président de CaptainDash et Digital Pionnier pour l'Union européenne.
Écrit par Gilles Babinet